La littérature peut aussi se fait entendre. Cet art consacré dans de nombreux pays prend pied dans la capitale.
Le festival Livres en Tête, dans sa sixième déclinaison, met à l'honneur l'art de la lecture à voix haute. Un véritable show littéraire, organisé autour de soirées thématiques inattendues voire truculentes, qui se déploie dans un format ambitieux : « dégustation littéraire », plaidoiries, contre plaidoiries, soirée dansante entrecoupée de jeux de lecture.
Dès ce soir, autour du thème « la science rend-elle fou ? », Frankenstein, Jekyll et autres Folamour, qui n'ont pas épargné de leurs désordres la littérature, seront en embuscade. Le tout dans un esprit effrayant et loufoque. Dans le plus pur respect de leurs géniteurs fous.
Demain, le cinéma à l'honneur. Les Livreurs prendront le cinéma à rebours : un film, n'est-ce pas d'abord un texte ? Et à le lire, qu'advient-il de ce film ? Est-il rejoué à l'identique ou bien notre imagination nous jouera-t-elle des tours ? En filigrane, c'est une démonstration par l'exemple, implacable, qui transparaît : celle du pouvoir de création des mots et de leur force évocatrice.
Samedi, ce sera plus sensuel. Le dernier jour, dans une approche plus tendre mais non moins drôle, sera aussi plus sensuel. Corps, sexe, rires au détour... À en rougir et à guetter son voisin... Jusqu'à samedi à l'auditorium Saint-Germain.
Joseph DAUCE
Le festival Livres en Tête, dans sa sixième déclinaison, met à l'honneur l'art de la lecture à voix haute. Un véritable show littéraire, organisé autour de soirées thématiques inattendues voire truculentes, qui se déploie dans un format ambitieux : « dégustation littéraire », plaidoiries, contre plaidoiries, soirée dansante entrecoupée de jeux de lecture.
Dès ce soir, autour du thème « la science rend-elle fou ? », Frankenstein, Jekyll et autres Folamour, qui n'ont pas épargné de leurs désordres la littérature, seront en embuscade. Le tout dans un esprit effrayant et loufoque. Dans le plus pur respect de leurs géniteurs fous.
Demain, le cinéma à l'honneur. Les Livreurs prendront le cinéma à rebours : un film, n'est-ce pas d'abord un texte ? Et à le lire, qu'advient-il de ce film ? Est-il rejoué à l'identique ou bien notre imagination nous jouera-t-elle des tours ? En filigrane, c'est une démonstration par l'exemple, implacable, qui transparaît : celle du pouvoir de création des mots et de leur force évocatrice.
Samedi, ce sera plus sensuel. Le dernier jour, dans une approche plus tendre mais non moins drôle, sera aussi plus sensuel. Corps, sexe, rires au détour... À en rougir et à guetter son voisin... Jusqu'à samedi à l'auditorium Saint-Germain.
Joseph DAUCE