Des stages de lecture à voix haute et de Solo Théâtre sont organisés dans le cadre du festival Les Heures Festives, qui se déroulera du 31 juillet au 15 août à Monceaux-le-Comte. Le premier a eu lieu du 25 au 26 juillet dernier. Immersion.
« Le petit chat est mort ». Ces mots raisonnent lorsqu’on passe le portillon du jardin de l’ancien presbytère de Monceaux-le-Comte. D’une voix grave et sérieuse ou plutôt d’une voix mélancolique et triste : c’est aux participants de décider de son interprétation.
Redécouvrir la lecture
Ils sont dix à s’être inscrits à ce stage de lecture à voix haute organisé par l'association Les Livreurs dans le cadre du festival Les Heures Festives à Monceaux-le-Comte. Cinq hommes et cinq femmes de tous âges et de toute provenance. Certains sont déjà familiers avec le théâtre, d’autres pas du tout.
Pour les aider et les conseiller, Claire, interprète et membre du collectif Les Livreurs depuis une quinzaine d’années. Elle explique : « Il ne faut pas confondre lecture à voix haute et théâtre. On ne joue pas une pièce par cœur, on garde le texte. Dit comme ça, cela paraît simple de juste lire un texte. Mais lorsqu’on commence, on se rend compte des difficultés. On bafouille, on se laisse submerger par ses émotions. Mais cela ne dure pas. »
Un exercice qui est donc plus compliqué qu’il ne le semble, mais qui n’a pas pour autant découragé les participants : « Samedi matin (25 juillet, NDLR), aucune des dix personnes présentes ne se connaissait. On a découvert des profils tous différents les uns des autres. Dès la première demi-journée, j’ai déjà vu du progrès. Chacun s’est senti plus à l’aise. J’adore ce genre de stage car on voit les gens se révéler au fur et à mesure », rapporte Claire. « Nous-mêmes, en tant que formateurs, on a nos propres préjugés et nos propres façons de lire. Mais on n’impose rien car l’interprétation est propre à chacun. Il y a l’outil vocal, le corps, même s’il reste assez neutre, la physionomie… Chacun imagine les personnages et les scènes différemment. Pour un même texte il y a tant d’interprétations possibles. »
« Le petit chat est mort ». Ces mots raisonnent lorsqu’on passe le portillon du jardin de l’ancien presbytère de Monceaux-le-Comte. D’une voix grave et sérieuse ou plutôt d’une voix mélancolique et triste : c’est aux participants de décider de son interprétation.
Redécouvrir la lecture
Ils sont dix à s’être inscrits à ce stage de lecture à voix haute organisé par l'association Les Livreurs dans le cadre du festival Les Heures Festives à Monceaux-le-Comte. Cinq hommes et cinq femmes de tous âges et de toute provenance. Certains sont déjà familiers avec le théâtre, d’autres pas du tout.
Pour les aider et les conseiller, Claire, interprète et membre du collectif Les Livreurs depuis une quinzaine d’années. Elle explique : « Il ne faut pas confondre lecture à voix haute et théâtre. On ne joue pas une pièce par cœur, on garde le texte. Dit comme ça, cela paraît simple de juste lire un texte. Mais lorsqu’on commence, on se rend compte des difficultés. On bafouille, on se laisse submerger par ses émotions. Mais cela ne dure pas. »
Un exercice qui est donc plus compliqué qu’il ne le semble, mais qui n’a pas pour autant découragé les participants : « Samedi matin (25 juillet, NDLR), aucune des dix personnes présentes ne se connaissait. On a découvert des profils tous différents les uns des autres. Dès la première demi-journée, j’ai déjà vu du progrès. Chacun s’est senti plus à l’aise. J’adore ce genre de stage car on voit les gens se révéler au fur et à mesure », rapporte Claire. « Nous-mêmes, en tant que formateurs, on a nos propres préjugés et nos propres façons de lire. Mais on n’impose rien car l’interprétation est propre à chacun. Il y a l’outil vocal, le corps, même s’il reste assez neutre, la physionomie… Chacun imagine les personnages et les scènes différemment. Pour un même texte il y a tant d’interprétations possibles. »